Une étude réalisée par Opinionway pour Seloger indique que 70% des Franciliens souhaitant quitter l’Île-de-France sont à la recherche d’une maison (1).
Suite aux différents confinements, avoir plus d’espace, un jardin et un bureau pour le télétravail constituent désormais la norme.
S’installer dans l’endroit de ses rêves grâce au télétravail, c’est le cap qu’ont franchi Éric et Marie-Aude : le couple a quitté Paris à l’issue du premier confinement pour télétravailler en Savoie, au bord du lac du Bourget.
Pour Maison Familiale, ils ont accepté de partager leur expérience. Rencontre !
Maison Familiale : qu’est-ce qui vous a décidé à quitter Paris pour vous installer en Savoie ?
Eric et Marie-Aude : (Eric raconte) « L’été 2019, j’ai fait un road trip à moto qui m’a amené à traverser les Alpes françaises, suisses, italiennes. Ce fut un coup de cœur : les paysages, le lac, les randonnées, les routes de montagne… J’ai eu l’impression de me sentir immédiatement chez moi et cela m’a donné envie de résider ici.
Mais on ne change pas de vie du jour au lendemain ! Quelques mois plus tard, j’apprends que mon entreprise propose de passer jusqu’à 3 jours par semaine en télétravail.
A partir de là, j’ai étudié le projet, évoqué le sujet avec mon manager, et décidé de déménager dans cette région. Mais la crise sanitaire est arrivée m’obligeant à gérer le déménagement pendant le 1er confinement et j’ai trouvé un appartement fin mai 2020 à Aix-les-Bains.
Entre-temps, Marie-Aude qui travaille comme moi dans les assurances, a pu me rejoindre en bénéficiant de 2 jours de télétravail par semaine dans son entreprise. Nous nous sommes installés dans l’appartement et avons rapidement pris nos marques dans cette région.
A quel moment avez-vous décidé d’acheter une maison ?
En quête d’espace, nous avons d’abord quitté l’appartement pour louer une maison, avant d’envisager fin 2020 de passer sur un achat immobilier.
Si les périodes « confinement et télétravail » nous ont évités de faire des allers-retours à Paris, nous avons subi l’autre effet du confinement : le marché de l’immobilier s’est tendu et la recherche de logement est devenue très compliquée dans le secteur.
Nous avons visité entre 20 et 25 maisons, sans jamais trouver ce qui nous convenait…
C’est ce qui vous a amené à envisager de faire construire ?
Oui, une première pour nous ! En voyant une annonce publiée sur internet par Maison Familiale, nous avons appelé en disant que nous étions intéressés, mais que nous ne savions pas du tout comment ça fonctionnait.
Une collaboratrice de Maison Familiale dans notre région est venue nous rencontrer au printemps 2021. Elle a pris le temps de nous détailler le process : l’achat du terrain, les étapes de construction de la maison, les garanties…
Cette rencontre a été décisive. Nous l’avons vécu comme une révélation en se disant que nous pouvions faire construire une maison qui nous ressemble, sans avoir à passer par une phase d’adaptation dans un logement qui ne nous correspond pas totalement.
Par exemple, nous avions surtout envie d’un espace très aéré et très lumineux. Dans ce que nous visitions dans l’ancien, nous ne trouvions jamais cela pour notre budget. Faire construire était la solution pour ne pas faire de concession.
L’argument de la performance énergétique a aussi été très important dans notre décision. Aujourd’hui, dans la maison que nous louons, nous avons une facture énergétique très élevée.
Au final, en prenant en compte le coût de l’énergie, faire construire ne nous coûte pas beaucoup plus cher.
Comment s’est déroulé l’achat du terrain ?
La recherche d’un terrain n’a pas été facile : le marché était aussi très tendu de ce côté-là.
Nous avons fini par en trouver un par nos propres moyens, à proximité immédiate d’Aix-les-Bains, à Brison-Saint-Innocent.
Quels étaient alors vos priorités pour votre choix d’implantation ?
Notre en avions qu’une seule : l’accessibilité en matière de transports et la présence de trains « grandes lignes ».
À ce titre, la gare d’Aix-les-Bains est très bien desservie : il y a presque 1 train pour Paris toutes les heures. Le fait de savoir que l’on peut rejoindre la capitale en 3 heures en partant à n’importe quel moment de la journée offre une réelle flexibilité d’organisation.
Concernant le plan de la maison, quels étaient vos souhaits et contraintes ?
En s’installant dans une nouvelle région, on savait qu’on allait recevoir beaucoup de monde et fréquemment – et cela s’est vérifié ! – il nous fallait donc un plan de maison à 4 chambres.
Des chambres qui nous serviront aussi pour télétravailler au calme.
Surtout, il nous fallait des pièces lumineuses et aérées, une cuisine ouverte sur un bel espace de vie.
Pour avoir les 4 chambres, nous avons dû opter pour une maison à étage en raison de la taille du terrain, afin de réduire l’emprise au sol et gagner de l’espace au niveau des extérieurs.
Au final, nous avons choisi le modèle Avant-Première, de Maison Familiale.
Et aujourd’hui ? Quelle est votre organisation en matière de télétravail, votre semaine type ?
En attendant d’avoir notre nouvelle maison neuve dont le chantier est prévu en avril prochain, nous partons à Paris le lundi matin vers 6h pour arriver au travail vers 9h et rentrons en décalé : Eric le mardi soir entre 20h30 et 21h et Marie-Aude le mercredi soir, dans le même train.
Lorsque nous travaillons sur Paris, nous sommes hébergés par des proches et le reste de la semaine, nous sommes en télétravail à la maison.
Pour travailler dans de bonnes conditions dans la future maison, nous avons choisi différentes configurations possibles : nous pouvons nous installer dans la pièce à vivre, ou nous isoler chacun dans une chambre. Nous les avons choisies avec de très grandes fenêtres qui donnent sur le lac du Bourget.
L’effet Covid nous a permis de profiter de la région à plein temps. A terme, on aura peut-être envie de travailler ici à 100%, on commence d’ailleurs à se pencher sur la question… (sourire) ».
Immobilier post-covid : en chiffres
+ de 1 acheteur sur 2 recherche une maison (1)
94% des acheteurs d’une résidence principale souhaitent un espace extérieur (1)
1 acheteur sur 5 recherche en zone rurale, soit 4 fois + qu’il y a un an
⅓ des acheteurs souhaitent s’installer dans une ville de – de 20 000 habitants (1)
En 2020, +6,6% du nombre de transactions de résidences à la campagne, avec 111 930 maisons concernées pour une surface totale de 63 110 hectares, en hausse de 9%(2)
Si vous aussi vous souhaitez faire construire une maison dans la région de vos rêves, prenez rendez-vous avec les conseillers de Maison Familiale. Achat du terrain, plan de maison, suivi des travaux… Ils vous accompagneront pas à pas dans chaque étape de votre projet !
(1) Source Se loger
(2) étude consacrée par le groupe Safer (Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural) aux marchés fonciers ruraux pour 2020